La promesse ...
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La promesse ...
J’ai la conviction que les voies sur lesquelles progressent si péniblement les amis de mon ami, qu’elles soient étroites et pavées de cailloux pointus et à d’autres moments plus simples et confortables ; sont des voies qui finalement se rejoignent au même sommet : celui de la libération de tout fardeau.
Cette marche est suffisamment difficile comme ça !
Il ne faut jamais s’y charger du fardeau d’une promesse. JAMAIS !
Et puis ... Quel non-sens ?!..
Faire un choix de libération tout en se couvrant d’une chaine et de son boulet !
Cette marche est suffisamment difficile comme ça !
Il ne faut jamais s’y charger du fardeau d’une promesse. JAMAIS !
Et puis ... Quel non-sens ?!..
Faire un choix de libération tout en se couvrant d’une chaine et de son boulet !
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Rien ne presse ... on ne meurt que demain.
Anthyme- Admin
- Messages : 163
Date d'inscription : 11/01/2015
Age : 70
Re: La promesse ...
Peut-on vivre sans chaînes et sans boulets ? Je pense que non, sinon, on serait comme ces ballons d’hélium qui vont éclater dans le soleil. Le tout est de choisir ses propres chaînes et boulets, il sont alors eux-mêmes ballons d’hélium qui aident à marcher plus légèrement.
Invité- Invité
Re: La promesse ...
Il y a les tâches répétitives très inspirantes des actifs :
-couper le lierre des murs en pierres sèches
-passer l'aspirateur
-tondre la pelouse
… et les tâches statiques très inspirantes des passifs :
-attendre à la poste
-attendre chez le médecin
-tenter de faire durer l’attente chez le dentiste
Moi par exemple …(j’adore l’innocent égocentrisme de ce tic de langage)
Moi par exemple, je viens de faire la queue à la pharmacie ; ce qui m’a conduit vers le destin de la feuille d’un arbre.
Comme dans un film en accéléré :
Imagine-toi une branche portant un bourgeon qui explose en feuille.
Puis, car une seconde de film représente une heure de sa vie, la feuille qui frétille à l’image de ces enfants pressés d’aller à la grande école, d’avoir les 14 ans du premier baiser, les 16 du premier amant, les 18 du « ép’isutt-j’fais-c’que-j’veux » … frétillements qui font que la feuille traverse l’été sans même se rendre compte que son vert s’assombrit pour commencer à jaunir dans les brouillards .. rougir-roussir sous les pluies froides .. et brunir-flétrir cerclée des givres matinaux.
Imagine une star d’Hollywood devant l’écran, une star imaginative qui croit entendre le cri d’effroi de la feuille, qui se défoule dans un élan compatissant qui la propulse vers la bobine du film pour le ralentir, le faire durer, freiner le cours inéluctable du temps qui assassine SA feuille, celle à laquelle elle s’identifie.
Qui faut-il plaindre : la star cramponnée à sa « crème-anti-âge », son onguent … son « onganti-temps » d’un futur qui la terrorise, ou bien la feuille qui en ne se libérant pas de sa branche se prive des mystérieuses et méconnues joies du vol ?
… … … …
Tiens ! … un néologisme anthymien de plus :
« Ongantitan » = pirouette cognitive visant l’oblitération du passage du temps.
« Ongantitaner » = appliquer un ongantitan
========================
========================
En réaction « à chaud »
____________________________
« Peut-on vivre sans chaînes et sans boulets ? »
Ça m’gène un peu …
Se forme l’image d’une dame qui le plus sérieusement du monde me demanderait : « Peut-on jouir sans des trucs vibrants dans le fion et le con, un bandeau sur les yeux et les mains ficelées dans le dos ? »
C’est un peu délicat de répondre …
Moi j’dirais … euhhhhh … Je dirais … « Oui ».
Bon ! Je dis ça parce que je suis très douillet.
Mais j’admets tout, même le masochisme.
(Pourvu que ça se passe entre adultes consentants.)
____________________________
« Je pense que non, sinon, on serait comme ces ballons d’hélium qui vont éclater dans le soleil. »
Là, je pars faire du micro-branche pour interviewer une feuille brune-flétrie qui tremblote dans le vent d’octobre :
« Bonjour Madame la Feuille, pourriez-vous vivre sans solidement vous cramponner à votre branche ? »
Et elle de répondre :
« Je pense que non, sinon, je serais comme ces merdes de pigeons qui vont éclater sur la tête des passants. »
____________________________
« Le tout est de choisir ses propres chaînes et boulets, il sont alors eux-mêmes ballons d’hélium qui aident à marcher plus légèrement. »
Maintenant, je vois des pénitents qui gravissent un chemin caillouteux vers une chapelle, sur les genoux, se donnant de temps à autre, entre deux avé Maria, des coups de fouet dans le dos, histoire de souffrir encore un peu plus et ainsi correctement se motiver pour accélérer la reptation … en quelque sorte s’aider à avancer.
N’aurais-tu pas reçu une éducation trèèèès … euh … catholique ?
-couper le lierre des murs en pierres sèches
-passer l'aspirateur
-tondre la pelouse
… et les tâches statiques très inspirantes des passifs :
-attendre à la poste
-attendre chez le médecin
-tenter de faire durer l’attente chez le dentiste
Moi par exemple …(j’adore l’innocent égocentrisme de ce tic de langage)
Moi par exemple, je viens de faire la queue à la pharmacie ; ce qui m’a conduit vers le destin de la feuille d’un arbre.
Comme dans un film en accéléré :
Imagine-toi une branche portant un bourgeon qui explose en feuille.
Puis, car une seconde de film représente une heure de sa vie, la feuille qui frétille à l’image de ces enfants pressés d’aller à la grande école, d’avoir les 14 ans du premier baiser, les 16 du premier amant, les 18 du « ép’isutt-j’fais-c’que-j’veux » … frétillements qui font que la feuille traverse l’été sans même se rendre compte que son vert s’assombrit pour commencer à jaunir dans les brouillards .. rougir-roussir sous les pluies froides .. et brunir-flétrir cerclée des givres matinaux.
Imagine une star d’Hollywood devant l’écran, une star imaginative qui croit entendre le cri d’effroi de la feuille, qui se défoule dans un élan compatissant qui la propulse vers la bobine du film pour le ralentir, le faire durer, freiner le cours inéluctable du temps qui assassine SA feuille, celle à laquelle elle s’identifie.
Qui faut-il plaindre : la star cramponnée à sa « crème-anti-âge », son onguent … son « onganti-temps » d’un futur qui la terrorise, ou bien la feuille qui en ne se libérant pas de sa branche se prive des mystérieuses et méconnues joies du vol ?
… … … …
Tiens ! … un néologisme anthymien de plus :
« Ongantitan » = pirouette cognitive visant l’oblitération du passage du temps.
« Ongantitaner » = appliquer un ongantitan
========================
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En réaction « à chaud »
____________________________
« Peut-on vivre sans chaînes et sans boulets ? »
Ça m’gène un peu …
Se forme l’image d’une dame qui le plus sérieusement du monde me demanderait : « Peut-on jouir sans des trucs vibrants dans le fion et le con, un bandeau sur les yeux et les mains ficelées dans le dos ? »
C’est un peu délicat de répondre …
Moi j’dirais … euhhhhh … Je dirais … « Oui ».
Bon ! Je dis ça parce que je suis très douillet.
Mais j’admets tout, même le masochisme.
(Pourvu que ça se passe entre adultes consentants.)
____________________________
« Je pense que non, sinon, on serait comme ces ballons d’hélium qui vont éclater dans le soleil. »
Là, je pars faire du micro-branche pour interviewer une feuille brune-flétrie qui tremblote dans le vent d’octobre :
« Bonjour Madame la Feuille, pourriez-vous vivre sans solidement vous cramponner à votre branche ? »
Et elle de répondre :
« Je pense que non, sinon, je serais comme ces merdes de pigeons qui vont éclater sur la tête des passants. »
____________________________
« Le tout est de choisir ses propres chaînes et boulets, il sont alors eux-mêmes ballons d’hélium qui aident à marcher plus légèrement. »
Maintenant, je vois des pénitents qui gravissent un chemin caillouteux vers une chapelle, sur les genoux, se donnant de temps à autre, entre deux avé Maria, des coups de fouet dans le dos, histoire de souffrir encore un peu plus et ainsi correctement se motiver pour accélérer la reptation … en quelque sorte s’aider à avancer.
N’aurais-tu pas reçu une éducation trèèèès … euh … catholique ?
Anthyme- Admin
- Messages : 163
Date d'inscription : 11/01/2015
Age : 70
Re: La promesse ...
Et comment je me retrouve dans ton dédale de sujets si tu mêles savamment, les questions, les réponses, les réflexions, la philo et les chaussettes -soquettes-
Est-ce pour tester mes éventuels troubles de la concentration ? troubles de l'attention ? À mon âge, il me semble bien tard pour mettre en place des stratégies pour les compenser, ces troubles.
Bon, reprenons, le titre du sujet, c'est "promesse".
~~~~
Pourquoi vouloir "Plaindre", éducation religieuse un peu stricte, non ?
~~~~~~~
J'adopte tes néologismes, délicieux en bouche, harmonieux à l'oreille.
Tu vas nous créer un sujet ou un chapître néologisme, je t'en laisse le soin, je ne sais pas dans quelle rubrique, dossier, forum, le faire.
~~~~~~~
Ha! ha ! ha ! ha !
Petit coquin va ! Que chaines et boulets t'amènent ces pensées lubriques, quand dans ma tête ne défilaient que les bagnards, innocents ou pas ..... !!
~~~~~~~~
Le "coup de la feuille-fiente d'oiseau" n'est pas parvenue à une quelconque suite dans mon cerveau. Pire, il me semble qu'elle appuie ma première intervention, alors qu'il me semble que tu tentes de démonter ma démonstration pour en extraire l'absurde. Pas logique, à 22 h 06
~~~~~~~~
Je te renvoie la question...N'as-tu pas reçu une éducation catholique que se serait subrepticement-sournoisement-subversivement collé à tes neurones ?
N'a-t-on pas tous un ou deux boulets que l'on traîne derrière soi, une ou deux "casseroles" disent les psys ? Alors pour équilibrer la situation, je trouve sain de compenser par des "boulets consentis". Tu sais les lois de l'équilibre, les vases communicants et tout et tout.
~~~~~~
Combien de temps as-tu mis pour concocter ta réponse ci-dessus ? Quelle question, voyons peu importe le temps pourvu qu'on ait l'ivresse...!
~~~~~~
J'ai reçu une éducation religieuse "externe" à l'insu de mon plein gré : j'ai été en école privée catholique de mes 7 ans à mes 11 ans, car l'école publique ne me voulait pas. À la maison on était assez fervent communiste un peu soiffard et déprimée chronique sans conviction aucune.
~~~~~~
Hors sujet ? hors du temps, hors du réel, hors de sa propre tête
Vivante comme la feuille sur l'arbre qui ne sait pas demain, ni hier, verte de vie, non pas de peur, jaune doré parce que c'est beau, brun crissant sous le pas, c'est le destin et c'est l'humus de demain.
Est-ce pour tester mes éventuels troubles de la concentration ? troubles de l'attention ? À mon âge, il me semble bien tard pour mettre en place des stratégies pour les compenser, ces troubles.
Bon, reprenons, le titre du sujet, c'est "promesse".
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Pourquoi vouloir "Plaindre", éducation religieuse un peu stricte, non ?
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J'adopte tes néologismes, délicieux en bouche, harmonieux à l'oreille.
Tu vas nous créer un sujet ou un chapître néologisme, je t'en laisse le soin, je ne sais pas dans quelle rubrique, dossier, forum, le faire.
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Ha! ha ! ha ! ha !
Petit coquin va ! Que chaines et boulets t'amènent ces pensées lubriques, quand dans ma tête ne défilaient que les bagnards, innocents ou pas ..... !!
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Le "coup de la feuille-fiente d'oiseau" n'est pas parvenue à une quelconque suite dans mon cerveau. Pire, il me semble qu'elle appuie ma première intervention, alors qu'il me semble que tu tentes de démonter ma démonstration pour en extraire l'absurde. Pas logique, à 22 h 06
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Je te renvoie la question...N'as-tu pas reçu une éducation catholique que se serait subrepticement-sournoisement-subversivement collé à tes neurones ?
N'a-t-on pas tous un ou deux boulets que l'on traîne derrière soi, une ou deux "casseroles" disent les psys ? Alors pour équilibrer la situation, je trouve sain de compenser par des "boulets consentis". Tu sais les lois de l'équilibre, les vases communicants et tout et tout.
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Combien de temps as-tu mis pour concocter ta réponse ci-dessus ? Quelle question, voyons peu importe le temps pourvu qu'on ait l'ivresse...!
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J'ai reçu une éducation religieuse "externe" à l'insu de mon plein gré : j'ai été en école privée catholique de mes 7 ans à mes 11 ans, car l'école publique ne me voulait pas. À la maison on était assez fervent communiste un peu soiffard et déprimée chronique sans conviction aucune.
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Hors sujet ? hors du temps, hors du réel, hors de sa propre tête
Vivante comme la feuille sur l'arbre qui ne sait pas demain, ni hier, verte de vie, non pas de peur, jaune doré parce que c'est beau, brun crissant sous le pas, c'est le destin et c'est l'humus de demain.
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